Le Conseil des syndicats des conseils scolaires de l’Ontario (CSCSO) regroupe 55 000 travailleurs des conseils scolaires des systèmes scolaires publics, catholiques, anglophones et francophones aux quatre coins de la province.
Nous sommes la colonne vertébrale du système d’éducation et nos membres occupent des emplois d’aides-enseignants, de travailleurs de bibliothèques scolaires, d’adjoints administratifs, de concierges et de gens de métiers, d’éducateurs de la petite enfance, de professeurs, de travailleurs des services de nutrition, de responsables de la sécurité dans les écoles, ainsi que de travailleurs sociaux, dans les écoles et les bureaux des conseils.
Le CSCSO permet aux travailleurs du secteur de l’éducation de partout dans la province de partager de l’information et des stratégies pour la négociation et de discuter des enjeux et des politiques qui les préoccupent. Nous aidons les sections locales à lutter contre la sous-traitance et à défendre l’enseignement public face aux compressions budgétaires.
Négociation du CSCSO 2022 – Mises à jour

Écoutez la nouvelle publicité radio des travailleurs et travailleuses de l’éducation de l’Ontario de première ligne et regardez les vidéos qui décrivent leurs expériences dans leurs propres mots sur 39000c’estpasassez.ca.
Bulletin d’information trimestriel du CSCSO
Rapport du CSCSO : l’impact de dix années de compression (2022)
Congrès virtuel du CSCSO de 2021
COVID-19
- Lire le bulletin intitulé « Le SCFP et la réouverture des écoles en toute sécurité » ici
- Cliquer ici pour obtenir de l’information et des mises à jour au sujet de la COVID-19.
- Calendrier du redéploiement volontaire des travailleurs de l’éducation
- Q & R – Redéploiement pour les travailleurs de l’éducation
Ce que nous faisons
Nouvelles récentes
Conseil des fiduciaires de la FSSBE : Appel de candidature
À compter du 1er mai 2017, la Fiducie d’avantages sociaux des travailleuses et travailleurs de l’éducation du SCFP sera constituée afin d’offrir des prestations d’assurance vie, de soins de santé et de soins dentaires aux travailleurs de l’éducation représentés par le SCFP dans plus de 110 unités de négociation en Ontario, et potentiellement à d’autres groupes d’employés du secteur de l’éducation. Le SCFP sollicite des candidatures pour deux postes de fiduciaires, pour un mandat initial de trois ans.
Campagnes et événements
- Lutter contre les fermetures d'écoles
- Mises à jour sur la négociation
- Actions communautaires
- Violence à l’égard des aides-éducateurs
- Rapports de la Conférence
- Financement de l’éducation et gouvernement
Aux quatre coins de la province, des collectivités subissent des pressions de la part du gouvernement provincial pour fermer des écoles en raison des compressions budgétaires irréfléchies qui nous dépossèderons de ces biens publics précieux. En apprendre davantage au sujet de la campagne pour sauver les écoles communautaires et sur la façon dont vous pouvez participer.
Le CSCSO représente 55 000 travailleurs des conseils scolaires lors des discussions centrales avec le ministère de l’Éducation provincial. Suivez ce lien pour connaître les plus récentes mises à jour.
En plus de faire fonctionner les écoles, les membres du SCFP sont fiers de soutenir les collectivités dans lesquelles nous vivons et travaillons. Visitez cette page pour avoir quelques exemples de la façon dont nos membres redonnent à leurs collectivités.
Des bas pour la mission pour hommes de London
En plein cœur d’un hiver extrêmement froid, la section locale 7575 du SCFP, qui représente les travailleurs au Conseil scolaire régional de Thames Valley, a donné des sacs de bas à la mission pour hommes de London.
« Ce n’est qu’une façon pour nous de redonner à notre collectivité », de dire Heather Skolly, présidente de la section locale 7575 du SCFP. « De plus, en avril, à Woodstock, nous organiserons une soupe populaire au cours de laquelle nous achèterons la nourriture, la préparerons, la cuisinerons et la servirons, pour ensuite tout nettoyer. Nous sommes vraiment excités. »
Des mains au chaud réchauffent les cœurs
Cet hiver, la section locale 3396 du SCFP (Conseil régional des écoles catholiques de Hamilton-Wentworth) et la section locale 4153 du SCFP (Conseil scolaire régional de Hamilton-Wentworth) ont organisé une campagne intitulée « Des mains au chaud réchauffent les cœurs », offrant des tuques et des mitaines à des adultes vivant dans la pauvreté.
Ils ont installé des boîtes dans les centres de loisirs de la ville, au Centre de santé communautaire de Hamilton Nord, au 541 Eatery and Exchange et dans les clubs Kiwanis pour garçons et filles, tous des endroits qui offrent du soutien aux résidents vulnérables. Les sections locales visitent quotidiennement les endroits où il y a des boîtes afin d’y ajouter les tuques et les mitaines qui leur ont été données.
Les commentaires des personnes qui utilisent les boîtes ont été globalement positifs, tout comme ceux des entreprises locales, ainsi que des bénévoles et des clients qui ont accès aux programmes et qui fréquentent le 541 Eatery pour des repas
Les aides-éducateurs sont victimes de violence au travail, et ce à des taux alarmants. Parce qu’ils travaillent directement, et beaucoup trop souvent seuls, avec des élèves à haut risque d’adopter un comportement violent, les aides-éducateurs sont des travailleurs particulièrement vulnérables.
Aucun travailleur ne devrait être confronté à de la violence au travail. Il y a des mesures que les écoles, les conseils et le ministère peuvent prendre qui permettront de réduire le danger auquel nos membres sont confrontés.
Terri Preston, présidente du CSCSO, discute de la violence subie par les aides-éducateurs à l’émission de radio The Current sur le réseau anglophone de la SRC (en anglais seulement)
Près des deux-tiers des aides-éducateurs considèrent la violence des élèves à l’égard des travailleurs comme étant un problème dans leurs lieux de travail.
Quarante-huit pour cent des aides-éducateurs ont été blessés par un élève au cours de la période de 18 mois qu’a duré une étude. Près de la moitié ont dû être hospitalisés ou ont dû recevoir une autre forme de soins médicaux en plus des premiers soins reçus au travail.
Même après qu’un aide-éducateur ait subi des blessures, de nombreuses écoles n’ont pas procédé à un examen du plan de sécurité des élèves et, même lorsqu’elles l’ont fait, une école sur dix n’a pas fait participer l’aide-éducateur qui a été la victime de violence.
Un cinquième des conseils scolaires continuent de ne pas offrir de formation sur un programme d’intervention non violente en situation d’urgence aux aides-éducateurs, et près des deux-tiers ne fournissent pas d’équipement de protection individuelle. Lorsque l’équipement de protection est fourni, plus de la moitié des aides-éducateurs croient que l’équipement fourni n’est pas adéquat.
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Envoyez un message au Conseil des syndicats des conseils scolaires de l’Ontario – Vous n’avez qu’à remplir le formulaire ci-dessous et nous communiquerons avec vous.