Entendez des travailleurs de première ligne parler des raisons pour lesquelles il est maintenant temps d’enfin abroger le projet de loi 124.
« Une partie de ce qui rend une communauté universitaire forte, ce sont des services de qualité, offerts par des professionnels qui ont des emplois stables et sûrs. Nos conditions de travail sont les conditions d’apprentissage des étudiants, et nous prenons cette responsabilité très au sérieux. » – Allan James, président de la section locale 3261 du SCFP, qui représente 1 300 travailleurs des services à l’Université de Toronto.