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Le syndicat représentant plus de 40 pour cent des membres qui cotisent à OMERS n’a pas semblé rassuré, renouvelant plutôt les demandes pour un examen indépendant d’OMERS, affirmant que les résultats semestriels ne suffisent pas pour détourner l’attention du « sous-rendement systémique » du régime de retraite.

« Tout comme une seule journée froide ne signifie pas que les températures n’augmentent pas, six mois de rendement nous en disent très peu sur le rendement à long terme de notre régime de retraite », d’affirmer Fred Hahn, président de la Division de l’Ontario du Syndicat canadien de la fonction publique, dans une déclaration. « De toute évidence, il s’agit d’une tentative désespérée d’induire en erreur et de détourner l’attention des préoccupations croissantes concernant le fonctionnement d’OMERS. »

Le syndicat a publié un rapport, en mai, affirmant qu’OMERS a sous-performé par rapport à ses propres indices de référence, tout comme sept autres régimes de retraite canadiens importants, et ce depuis au moins dix ans.

« La base de nos membres au sein du conseil d’administration nous a demandé une mise à jour au sujet des résultats sur les investissements en dehors de notre processus de rapport annuel », de préciser Neil Hrab, porte-parole d’OMERS, dans un courriel. « Pour nous, la transparence est importante et nous avons choisi de fournir cette mise à jour semestrielle additionnelle au sujet des investissements. »

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