Candace Rennick, secrétaire-trésorière du SCFP-Ontario, a affirmé que bon nombre des conditions qui contribuent à la propagation de la COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée et les foyers de soins infirmiers existaient bien avant que le virus n’apparaisse.
« Les gens peuvent être peinés de ce qui se passe ici, mais absolument aucune personne qui a porté attention ne peut être surprise », a-t-elle affirmé.
Mme Rennick lutte depuis plusieurs années pour le rétablissement d’une norme de soins qui assurerait que chaque résident reçoive un minimum de quatre heures de soins directs par jour d’un infirmier ou d’un préposé aux services de soutien à la personne – ce qui signifie que de nombreux établissements devraient ajouter du personnel.
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