Le 30 septembre, nous devons nous rappeler de la vérité et des réalités de l’histoire des Autochtones et y réfléchir

Alors que le Canada souligne la deuxième Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, le Conseil des Autochtones du SCFP-Ontario demande aux membres et aux sections locales du SCFP d’apprendre au sujet des réalités historiques et actuelles des Premières Nations et des peuples inuits et métis du Canada, de participer aux événements de la vérité et de la réconciliation et de télécharger le Guide de la vérité et de la réconciliation du SCFP — https:// scfp.ca/le-scfp-lance-un-guide-pour-la-negociation-favorisant-la-verite-et-la-reconciliation — une ressource pour aider les sections locales à soutenir la réconciliation et les travailleurs autochtones en négociant des dispositions dans leurs conventions collectives.

« Notre syndicat et nos membres peuvent et devraient jouer un rôle actif dans les efforts de réconciliation », de dire Leila Paugh, présidente du Conseil des Autochtones. « Une réelle réconciliation et une véritable guérison sont possibles grâce à tous nos efforts collectifs pour reconnaître les réalités de l’histoire des Autochtones au Canada et y réfléchir. »

Avant que le gouvernement fédéral n’adopte une loi légiférant la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, le 30 septembre était communément connu comme étant la Journée du chandail orange, journée qui a débuté en 2013 afin d’honorer les survivants des pensionnats et ceux qui ne sont jamais rentrés à la maison.

« La Journée du chandail orange est un sombre rappel de tous les enfants que nous avons perdus aux mains des pensionnats, de poursuivre Mme Paugh. C’est également un rappel actif que nous devons nous concentrer sur ce dont nous avons besoin pour bâtir un avenir meilleur et plus radieux pour tous nos enfants – Chaque enfant est important. »