Présentement, cela établit le délai de grève ou de lock-out au 24 juillet.
« Tout ce que nous voulons, c’est l’équité », d’affirmer Krista Godard, qui a participé au rassemblement.
Elle a parlé au nom de la foule en affirmant que tout le monde est pénalisé qu’une entente équitable ne puisse pas être conclue et les membres du personnel de Cornwall, représentés par le SCFP, sont confrontés à une grève pour une deuxième fois de suite. Les employés des unités représentées par le SCFP à la ville ont été en grève pendant environ un mois en mai et juin 2018, soit avant que les dernières conventions collectives soient approuvées.
En mars dernier, la Ville a quitté la table de négociation, qui en était à la première ronde de négociations, après une journée et demie, d’affirmer la porte-parole et vice-présidente du conseil exécutif, Michelle Beaulne. Au cours de la deuxième ronde, la section locale 3251 du SCFP est retournée à la table de négociation pendant encore une journée et demie avec un conciliateur du ministère du Travail, de la Formation et du Développement des compétences, conformément au processus de négociation collective établi par la province de l’Ontario.
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