Au cours des dernières années, les membres du SCFP ont constamment identifié la violence et le harcèlement sexuels comme étant un des principaux problèmes auxquels nos membres sont confrontés dans le secteur de l’enseignement postsecondaire.
Au Congrès de 2017, les membres du SCFP ont adopté une résolution demandant une trousse sur la violence sexuelle au travail. À la fin de 2018, le SCFP a publié le guide intitulé Non à la violence sexuelle en milieu de travail pour les sections locales du SCFP.
Cinq provinces ont maintenant adopté une loi exigeant que les établissements d’enseignement postsecondaire aient une politique institutionnelle sur la violence et le harcèlement sexuels. Des universités et des collèges d’autres provinces choisissent également d’adopter et de mettre en œuvre de telles politiques. Dans de nombreux cas, 2019 est l’année au cours de laquelle de telles politiques sont officiellement entrées en vigueur.
Jusqu’à maintenant, les conséquences de ces politiques semblent variées. Certaines politiques institutionnelles sont mieux que d’autres. Et certaines écoles réussissent mieux à les mettre en œuvre que d’autres. Dans de nombreux collèges et universités, les administrateurs et les sections locales tentent de prendre des mesures en ce sens, mais que les deux parties trouvent inhabituelles. De nouvelles questions surgissent constamment.
Afin de mieux comprendre ce qui se passe partout au pays et afin de savoir s’il y a des ressources et des outils additionnels que le SCFP national peut offrir au secteur de l’enseignement postsecondaire qui aideront les membres du SCFP à bien connaître le processus qui consiste à régler les incidents de violence et de harcèlement sexuels, nous demandons aux membres du secteur postsecondaire du SCFP de répondre à ce bref sondage informel.
Les résultats de ce sondage seront utilisés afin d’éclairer le développement du programme de recherche et de formation du SCFP national sur cette question. Toutes les informations resteront confidentielles et les réponses ne seront pas publiées, mais veuillez ne pas fournir de détails confidentiels qui pourraient identifier les survivants qui ont choisi de ne pas rendre leur histoire publique.
Lien pour le sondage : https://survey-sondage.cupe.ca/index.php/711363
Date limite pour répondre au sondage : 30 avril 2019