Les conservateurs doivent interdire les agences de recrutement au lieu de simplement légiférer sur la collecte de renseignements en matière d’administration et de facturation
En Ontario, le SCFP représente environ 5 000 travailleurs de la santé publique qui travaillent dans 25 des 34 unités de santé publique de l’Ontario en tant qu’inspecteurs de la santé publique, hygiénistes et assistants dentaires, promoteurs de la santé, visiteurs familiaux à domicile, infirmières de santé publique, inspecteurs de la campagne Ontario sans fumée, nutritionnistes, épidémiologistes et adjoints administratifs, pour n’en nommer que quelques-uns.
Ces travailleurs sont extrêmement importants pour leurs communautés. Ils veillent à la santé et à la sécurité des habitants et réduisent les coûts futurs des soins de santé en prévenant les maladies chroniques, les problèmes de santé et les blessures.
Malgré cela, au cours des 20 dernières années, le financement de la santé publique, tant au niveau provincial que municipal, a été nettement insuffisant. Ce sous-financement a entraîné des réductions de services, des licenciements et des salaires qui n’ont pas suivi l’évolution du coût de la vie, ce qui a rendu le recrutement de travailleurs plus difficile et la rétention des travailleurs existants difficile en raison de l’augmentation de la charge de travail.
