OTTAWA (ONTARIO) – Les travailleurs de première ligne de la Fondation Tamir qui viennent en aide aux adultes juifs ayant une déficience intellectuelle ont voté massivement en faveur de la grève si nécessaire.
« Nous sommes déçus que notre employeur refuse d’améliorer les congés de maladie payés, d’instaurer une journée de mieux-être ou de régler le fait que les membres doivent couvrir les frais et primes d’assurance du véhicule qu’ils utilisent pour le travail », explique Robyn Weedmark, présidente du SCFP 4870.
Selon les membres de la section locale, le manque de congés de maladie payés et de reconnaissance du bien-être des employés nuit à la qualité et à la continuité des soins, en plus d’avoir de fortes répercussions sur la capacité de la Fondation Tamir à recruter et à retenir du personnel.
« Tamir est censé promouvoir un environnement propice à la croissance personnelle et à l’engagement communautaire, mais elle ferme les yeux sur la réalité des travailleurs de première ligne auprès des personnes ayant une déficience intellectuelle, poursuite Mme Weedmark. Nous envoyons un message clair à notre employeur pour qu’il prenne au sérieux les négociations et les préoccupations de nos membres. »
Les négociations entre la Fondation Tamir et le SCFP 4870 se poursuivent.
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