PETERBOROUGH (ONTARIO) — À la suite d’histoires tragiques provenant de plusieurs établissements de soins de longue durée de l’Ontario ce mois-ci, il y a un examen approfondi de la qualité et de la sécurité des soins offerts aux résidents.

Les préposés aux services de soutien à la personne, les infirmiers auxiliaires autorisés et d’autres personnes qui travaillent sur les lignes de front dans les établissements de soins de longue durée, ainsi que les familles des résidents de la région de Peterborough, affirment qu’il ne fait aucun doute que la crise relative à la qualité des soins et à la dotation en personnel est réelle.

Le lundi 7 novembre 2016, des prestataires de soins, des chercheurs et des défenseurs des familles des résidents se réuniront pour une rencontre spéciale et une conférence de presse afin d’établir le bien-fondé d’avoir un minimum de quatre heures de soins quotidiens pour les résidents des établissements de soins de longue durée enchâssé dans un loi en Ontario.

Les médias sont invités à participer à la rencontre pour une conférence de presse, à 10 h 30, à l’auditorium du St. Josephson at. Fleming, 659, promenade Bradley (Peterborough). Les participants à la conférence de presse incluent :

  • Jim Starters, professeur à l’Université Trent et chercheur-collaborateur sur le projet Re-imagining Long-term Residential Care: An International Study in Promising Practices (Repenser les soins résidentiels de longue durée : Une étude internationale sur des pratiques prometteuses).
  • Tom Carrothers, président du Advocacy Committee of Family Councils (Comité de défense des conseils des familles).
  • Candace Rennick, secrétaire-trésorière du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) de l’Ontario et ex-travailleuse d’un établissement de soins de longue durée.
  • Andrea Legault, préposée aux services de soutien à la personne dans un établissement de soins de longue durée local.

Avec une recherche universitaire solide et une nouvelle loi (projet de loi 33, Loi sur le temps alloué aux soins) pour rendre obligatoire une norme quotidienne, « le gouvernement de l’Ontario subit à nouveau des pressions pour agir. Nous encourageons le ministre de la Santé à appuyer une norme de soins imposée par la loi. Les résidents, leurs familles et le personnel de première ligne vous demandent de faire la bonne chose et de faire de quatre heures soins par jour pour les résidents une réalité », de dire Mme Rennick.

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Pour obtenir des renseignements supplémentaires, veuillez communiquer avec :

Stella Yeadon, Service des communications du SCFP, au 416-559-9300